
Il faut prendre conscience de l’apport d’autrui,
d’autant plus riche que la différence avec soi-même est plus grande.

Il serait temps que l'homme reconnaisse que la relation avec l'autre
est bien plus essentielle qu'un monde fermé,
reposant sur la seule conscience de soi.

L'enfance.
Cette heureuse et brève période de l'existence
où l'on a tout juste assez de conscience pour savourer
la joie d'être et d'inconscience pour ignorer les difficultés de la vie.

La charité a toujours soulagé la conscience des riches,
bien avant de soulager l'estomac du pauvre.

La conscience est un trait d’union entre ce qui a été et ce qui sera,
un pont jeté entre le passé et l’avenir.
